Quelqu'un qu'on aime, Séverine Vidal

Quatrième de couverture :
Matt et son grand-père Gary partent à la poursuite des souvenirs sur les routes de l'Ouest américain.
Embarquez dans un road trip pour partager les destins d'une véritable "famille de route".
Des histoires atypiques, des personnages terriblement attachants, des générations qui se croisent... pour un roman bouleversant.












Je remercie les éditions Sarbacane pour ce partenariat.

Quelqu’un qu’on aime… Rien que le titre fait chaleureux. Dès que j’ai vu ce roman j’ai su qu’il allait me plaire (bon d’accord la couverture y est sans doute pour quelque chose). Pourtant moi et les histoires de road trip d’habitude on ne s’entend pas trop. Comme quoi il ne faut jamais avoir de préjugés sur un livre, il peut toujours vous surprendre. 

Dans ce road trip on embarque donc avec Matt, Gary, Luke et Antonia. Ces quatre personnages mais WHAT quoi ?! ils sont tellement attachants, tellement généreux, tellement humains et je les ai quittés avec tellement de regret ! (sortez les mouchoirs s’il vous plaît et pleurons en choeur) 
Sérieusement, j’implore Séverine Vidal d’écrire une suite, ce n’est pas possible de créer des personnages aussi chouettes, aussi travaillés pour les faire vivre seulement quelques 200 pages (il y aurait vraiment matière à rédiger une plaidoirie si seulement j’en avais le temps ) *o* (oui il est tard quand j’écris cette chronique, excusez mon ton un brin révolté et ma déformation d’apprenti juriste). 

Bref, laissons la question des personnages de côté et parlons maintenant de la plume de l’auteure. Quel régal, quelle merveille ! Pile le style que j’aime : simple, délicat, spirituel, doux. On pourrait faire de ce livre un recueil de citations ! 

J’ai adoré me retrouver plongée dans les Etats-Unis, d’autant plus que projette d’aller y passer quelques mois l’année prochaine si je réussis mon TOEFL . Et puis, je trouve que l’auteure s’empare brillamment du sujet d’Alzheimer, sujet toujours délicat bien qu’on le retrouve de plus en plus dans la littérature je trouve (peut être une conséquence de l’expansion de cette horrible maladie). Le road trip façon à la chasse aux souvenirs perdus de Garry mon Dieu mais quelle belle idée !


En bref, si j’étais une Youtubeuse nombreux diraient que je viens de faire un placement de produit tellement mon avis est positif, mais très sincèrement je ne vois aucun point négatif à ce livre (à moins que le fait que je l’ai fini compte ?!). Vous l’aurez sans doute compris mais je vous conseille vivement Quelqu’un qu’on aime, c’est un roman que vous ne pourrez qu’aimer j’en suis sûre ;)


Un passage : "Matt craignait le pire et ce n'est pas ce qui est arrivé. C'est même tout le contraire. A l'horizon, il n'y a pas de soleil couchant magnifique, on ne voit pas à cent mètres dans ce chaos glacial, il n'y a rien, rien de ce qu'il avait prévu, rêvé. Mais Matt s'en fout : ce sera ce que ce sera. Et ça sera sans doute pas si mal."

288 pages
15,50€

Ça peut pas rater, Gilles Legardinier


Quatrième de couverture : 
- J'en ai ras le bol des mecs. Vous me gonflez ! J'en ai plus qu'assez de vos sales coups ! C'est votre tour de souffrir ! 
Marie pensait avoir trouvé l'homme de sa vie, jusqu'à ce que son couple implose de façon brutale et scandaleuse. Anéantie, elle prend une décision sur laquelle elle jure de ne jamais revenir : ne plus faire confiance aux mâles et surtout, ne plus rien leur passer. Ni dans sa vie privée, ni au travail. On remet les compteurs à zéro. On renverse la vapeur. La gentille Marie est morte, noyée de chagrin. À présent, c'est la méchante Marie qui est aux commandes. Marie est remontée comme un coucou. Marie ne croit plus à l'amour, ce mirage source de tous les malheurs des femmes. Mais voilà, Marie a du cœur, une famille, des amies aussi tordues qu'elle et une soif de vivre qui n'a pas fini de la précipiter dans des plans impossibles. Et si, au-delà de ses illusions perdues, il était temps pour elle de découvrir tout ce qui vaut vraiment la peine d'être vécu ?


Lecture commune avec Les chroniques de Johanne 


Ça peut pas rater ! est un livre qui traînait dans la bibliothèque de ma maman depuis quelques mois. A chaque fois que je passais devant je le regardais avec un air vaguement contrit, en me disant qu'étant donné l’ampleur de ma PàL je ne réussirais sans doute jamais à le lire (ou alors Gilles Legardinier en serait à son 20ème roman).
Bref, lorsque j’ai vu que Johanne l’avait dans sa PàL et qu’en plus elle voulait découvrir cet auteur j’ai sauté sur l’occasion.

Tout d’abord, il faut savoir que j’aime beaucoup Gilles Legardinier, j’ai déjà lu deux de ses romans : Demain j’arrête ! et Complètement cramé ! Je savais donc à peu près à quoi m’attendre au niveau qualitatif.

La façon d’écrire de Gilles Legardinier est très fluide, assez simple mais très agréable à lire. Et puis, ce que j’aime avec cet auteur c’est que ses histoires sont toujours à la fois complètement tordues mais aussi complètement tordantes ! Gilles Legardinier est définitivement un auteur drôle muni d’une imagination débordante… Je vous laisse donc imaginer avec quel régal ses romans se lisent. 

Ainsi, dans Ça peut pas rater ! on découvre Marie, un personnage extrêmement attachant dans lequel je me suis beaucoup retrouvée. Elle est blessée par la vie, blessée par les hommes mais elle ne cesse jamais d’espérer, elle conserve toujours cet infime espoir de trouver THE homme qui la rendra heureuse, ce qui la rend terriblement humaine (et aussi terriblement femme). J’avoue m’être demandée au cours de ma lecture comment Gilles Legardinier arrivait à décrypter aussi bien les sentiments féminins, je trouve ça très impressionnant !

Il faut aussi parler des personnages secondaires qui donnent un véritable plus à l’histoire, j’ai vraiment adoré chacun d’entre eux ! Je suis toujours épatée par la capacité d’un auteur a créer un grand nombre de personnages tous très différents et très complexes à la fois. 

Gilles Legardinier nous livre un roman un brin loufoque mais si empreint de réalité que même les situations les plus déjantées semblent à leur place. En fait, elles apportent une bouffée d’air frais salutaire au roman, sans ces moments de folie l'histoire perdrait beaucoup de son charme. Et surtout, les situations complètement folles sont un peu la marque de fabrique, le signe distinctif de l’auteur !

En bref, j’ai aimé me plonger dans cette histoire imprévisible et divertissante. Ça peut pas rater ! est un roman qui m’a fait passer un très agréable moment de lecture et que je vous  recommande de tout coeur ! 


Un passage : "Il doit certainement exister quelque part une caverne secrète ou un entrepôt mieux gardé que la réserve fédérale, où tous les types cool sont stockés en secret. De temps en temps, l'un d'eux parvient à s'échapper, mais il n'est pas facile de le repérer au milieu de tous les autres. De toute façon, dès qu'il apparaît en public ou passe dans un champ à découvert, il y a toujours une autre fille pour le récupérer avant vous, et le voilà casé."


19,90 €
421 pages

Marque-page #37



Voici le nouveau marque-page de la semaine ! Aujourd'hui j'avais envie de rose, de romantique, de délicatesse... J'espère qu'il vous plaira. Dites moi ce que vous en pensez (et désolé pour celles qui n'aime pas le rose haha) :)
A très vite ♥



The Book of Ivy, Amy Engel

« L'amour dépasse les graphiques, les diagrammes et les intérêts communs. L'amour, c'est brouillon, c'est compliqué, et c'est une erreur de refuser sa magie aléatoire. » 

Quatrième de couverture :
« Voilà cinquante ans qu’une guerre nucléaire a décimé la population mondiale. Un groupe de survivants d’une dizaine de milliers de personnes a fini par se former, et ce qui reste des États-Unis d’Amérique s’est choisi un président. Mais des deux familles qui se sont affrontées pour obtenir le pouvoir, la mienne a perdu. Aujourd’hui, les fils et les filles des adversaires d’autrefois sont contraints de s’épouser, chaque année, lors d’une cérémonie censée assurer l’unité du peuple. J’ai seize ans cette année, et mon tour est venu. Je m’appelle Ivy Westfall, et je n’ai qu’une seule et unique mission dans la vie : tuer le garçon qu’on me destine, Bishop, le fils du président. Depuis ma plus tendre enfance, je me prépare pour ce moment. Peu importent mes sentiments, mes désirs, mes doutes. Les espoirs de toute une communauté reposent sur moi. Le temps de la rébellion approche... Bishop doit mourir. Et je serai celle qui le tuera. »


A peine avais-je aperçu la couverture de ce livre que déjà il faisait baver d'envie. Et depuis, je n'ai cessé de lire des avis hyper positifs (même la libraires à la caisse au moment de payer m'a dit que j'avais fait un excellent choix !).

Pour être honnête, The Book of Ivy me faisait tout de même un peu peur. Trop d'avis le portait aux nues, trop de blagueuses en parlait comme d'un coup de coeur intersidéral... J'avoue que depuis ma terrible déception avec La Sélection, je suis devenue un tantinet méfiante. Aussi, en commençant ma lecture j'ai essayé de ne pas avoir trop d'attentes, priant simplement pour le style ne soit pas trop jeunesse.

Finalement, si j'ai trouvé le style assez jeunesse je dois pour le moins reconnaitre que l'écriture est fluide et agréable. Pas un chef d'oeuvre de poésie mais rien qui ne me heurte non plus. Par contre, j'ai été un peu effrayée au début de ma lecture : je n'irais pas jusqu'à dire que je m'ennuyais mais je me demande si je ne commencerais pas à faire une overdose de dystrophie !

Et puis c'est arrivé... Je suis entrée dans le roman. Et j'ai compris pourquoi tant d'entre vous sont désespérés de ne pas avoir la suite à portée de main (personnellement j'ai été dans l'obligation de lire le résumé du tome 2 pour me rassurer).
Parce qu'il y a quelque chose dans ce roman d'indubitablement bon, quelque chose qui prend aux tripes et qui ne vous lâche pas jusqu'au fin mot de l'histoire.

Bon, je n'ai pas été totalement conquise par Ivy (son côté un peu trop... pas cliché, ce serait trop fort, mais plutôt je-souffre-je-me-sacrifie-blablabla, m'a tapé sur le système, je crois que je fais une allergie aux héroïnes en souffrance intense !)
Mais Bishop... Mamamia... Je l'ai aimé d'amour ! Bien plus complexe qu'Ivy, plus mystérieux*, plus... je ne sais pas, il a un truc qui retient l'attention.

En bref, j'ai beaucoup apprécié ce premier tome qui arrive à se détacher des autres dystopies par son originalité et ses innovations. J'ai hâte de me jeter sur le tome 2 !

* je suis un peu mesquine sur ce point là étant donné qu'on est dans la tête d'Ivy...

Un passage : «Et en vérité, il n'existe aucune façon de protéger quelqu'un pour toujours. Le monde recèle une foule de dangers, par milliers, ceux dont on a conscience et ceux auxquels on n'a jamais pensé. »


15 €
342 pages 

In my mailbox #12



In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine (ou chaque mois) dans notre boîte aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.


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Aujourd'hui je vous retrouve avec un petit IMM ! Je reçois rarement des livres mais là on peut dire que j'ai été gâtée par les éditions Sarbacanes que je remercie d'ailleurs beaucoup :)



♥︎ La fille de la ville de Boris Lanneau
♥︎ Dysfonctionnelle d'Axl Cendres



J'ai également reçu une commande que j'avais passée chez les 3 fées, une boutique en ligne qui propose du maquillage minéral, c'est-à-dire qui respecte votre peau car totalement naturel. Sur la photo vous voyez de la poudre libre (ainsi qu'un échantillon de fard à paupière). En effet, depuis un mois et demi je suis passée au naturel pour ma peau (et également pour mes cheveux d'ailleurs). J'aimerais beaucoup vous en parler davantage car les effets sont vraiment remarquables, mais je me vois mal le faire sur le blog. Est-ce qu'une vidéo vous tenterait ? J'y pense depuis de nombreux mois sans oser franchir le pas ^-^


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J'en profite également pour vous signaler qu'un concours est actuellement en cours sur mon Instagram (lien dans la barre d'infos) :D

Voilà, je vous fais des bisous et à très vite ♥︎

Les films du mois - Septembre 2015


Dans cette catégorie je vous présenterais une fois par mois quelques les films que j'ai vu avec une courte critique.

***

Un moment d'égarement 


Un film qui me faisait tellement envie, que j'attendais avec beaucoup d'impatience mais qui s'est révélé fade et décevant. Je n'ai pas vu d'histoire d'amour juste un adulte qui se laisse séduire et qui regrette vaguement et une jeune fille un brin hystérique, capricieuse, totalement inconsciente et immature. Je vous passerais le côté "légèrement" misogyne du film (on voit très bien Louna nue tandis que Vincent Cassel reste pudiquement en maillot de bain...). De plus, l'amitié pourtant très présente dans le film est très superficiellement traitée, sans vous spolier les disputes ne valent vraiment pas le détour. Bref, je ne vous le conseille pas.

UNE DÉCEPTION

Chappie 


Chappie est un film qui se regarde par un jour de pluie, quand on a rien de mieux à faire que se blottir dans sa couette en mangeant des M&M's. J'ai été un peu désarçonnée par la fin qui semble appeler une suite mais aussi par le message que le réalisateur a voulu faire passer. Pour ou contre les robots ? Je n'ai pas vraiment compris le sens de ce film je crois mais j'ai passé un bon moment, on ne s'ennuie pas, il y a de l'action à gogo et même des sentiments ! 

UN BON DIVERTISSEMENT

Les minions


J'ai bien aimé ce film, pas un coup de coeur du tout, mais j'ai passé un bon moment surtout au début, je trouve que c'est la meilleure partie. Ensuite ça part un peu dans tous les sens, un peu dans le n'importe quoi. Si les Minions est un dessin animé sympathique, il n'échappe cependant pas à certains clichés ni même à un déroulement assez classique du récit. Les personnages sont certes très originaux, mais le film en lui-même n'a rien de révolutionnaire. 

MIGNON


Mauvaise connexion, Jo Witek

Quatrième de couverture :

Entre ennui et conflits avec sa mère qui l'élève seule, Julie, 14 ans, rêve de mannequinat et attend le grand amour. Lorsqu'elle entre en contact avec Laurent sur internet, elle pense l'avoir trouvé. Il lui promet de l'aider à se constituer un book photos et la convainc de poser nue devant la webcam jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus se défaire de cette passion qui tourne au harcèlement.







Tout d'abord, je tiens à remercier les éditions Talents Hauts pour cet envoi !
Le résumé est assez explicite dans la 4ème de couverture, aussi je vais passer directement à mon avis. Contrairement au précédent livre de Jo Witek que j'ai lu dans la même collection, je n'ai pas été réellement conquise.

Premièrement, sans doute à cause de l'impression de lire un simple témoignage. C'est peut être la volonté de l'auteure mais du coup je ne me suis pas identifiée à la narratrice. J'avais plutôt la sensation de lire une suite de faits, comme si elle s'adressait à la police, plutôt qu'un récit en tant que tel. J'avais beaucoup aimé Trop tôt parce que le lecteur était plongé dans une véritable histoire avec des personnages travaillés auxquels on pouvait s'attacher et surtout, surtout j'avais réussi à me mettre dans la peau de l'héroïne. 

Dans ce livre le lecteur reste un simple observateur, il n'est pas invité à entrer dans l'histoire. L'écriture de l'auteure semble froide et impersonnelle... Après, peut être que je n'ai pas lu ce livre au bon moment ou alors que je ne me suis tellement pas sentie concernée que je n'ai pas pu être touchée. 
Mais cette dernière solution ne me paraît pas être la bonne car je n'ai pas pu lâcher le livre, voulant à tout prix connaitre la fin ! Jo Witek a donc tout de même réussi à capter mon attention de bout en bout. Mais c'était plus de la curiosité qu'une réelle implication dans le roman. 

En bref, je ne sais pas si cet avis est très clair ! Mauvaise connexion de Jo Witek est un livre intéressant, qui dénonce une réalité grave et choquante. Mais je n'ai pas réussi à m'attacher à la victime comme si j'étais trop loin de cette histoire, comme si ça me paraissait trop inconcevable pour être réel. Alors que je sais pertinemment que ce genre de choses arrive bien plus souvent qu'on le soupçonne ! Je pense que ce livre devrait être lu par tout le monde mais plus dans un contexte de prévention que de lecture "plaisir". En tout cas n'hésitez pas à le lire et si vous le faites j'espère qu'il vous plaira plus qu'à moi !

Un passage : "Je m'appelle Julie Nottini. J'ai dix-huit ans. Mon cas n'est pas unique.
Nous sommes des milliers de filles chaque année à nous sentir sales, honteuses, souillées. La plupart d'entre nous n'évoquent jamais ce qui leur est arrivé et préfèrent se taire. Elles font comme si ce n'était pas grave. Elles baissent la tête et poursuivent leur chemin.
C'est ce que j'ai fait, au début. J'avais honte. Difficile de raconter une humiliation sans se salir, salir sa famille, son avenir. Difficile de décrire ce qu'on voudrait fuir à jamais."


7 €
96 pages

Moi après mois... Août 2015


Revoir une amie après 2 mois de vacances//Gagner une pochette chez une blogueuse mode adorable//Partir à Malte//Le décollage en avion mamamia quelle sensation incroyable//L'eau transparente et à 28°//Des feux d'artifice en plein jour//Lire 5 livres en deux semaines//Se prélasser au bord de la piscine pendant des heures//Les bus maltais et leurs chauffeurs... imprévisibles//S'acheter un chapeau//Le soleil, la chaleur//Voir son père lire et ne pas en revenir//Des vacances incroyables//Parler avec un inconnu dans l'avion//Revenir toute bronzée//Perdre son bronzage au bout de deux semaines//Revoir son amoureux après trois semaines de manque intensif//so much love in my life//Victoria's Secret//Un petit chiot trop mignon//Passer au make-up bio//Un repas de famille décevant//L'aider à déménager//Se sentir chez soi chez lui//Vivre sans électricité pendant une journée//Faire son rapport de stage//Quelle horreur//Préparer plein d'articles en avance pour le blog//Préparer son propre déménagement//Ne pas avoir envie de retourner travailler//Les vacances c'est tellement bien//